Des moyens d’action de l’Etat renforcés

L’enveloppe départementale est passée de 1 800 000 € en 2014 à 4 470 000 € en 2020, soit une évolution du ratio par habitant de 32 € à 59 €.

Le nombre total de dossiers instruits par le service politique de la ville progresse régulièrement passant de 650 en moyenne par an à près de 800 en 2020.

Le nombre de poste adultes relais a doublé en 4 ans. Il est passé de 54 en 2015 à 97 en 2020 dont 36 postes supplémentaires entre 2019 et 2020.

A titre d’exemple, pour les quartiers de Nîmes, ce sont 51 postes d’adultes relais qui sont mis en place, ce qui représente une aide supplémentaire de l’État au titre de la politique de la ville de 1 013 625 euros.

Le nombre de programmes de réussite éducative (PRE) a évolué depuis 2015 ( 5 à 7) pour couvrir la majorité des quartiers.

Les contrats locaux d’accompagnement à la scolarité (CLAS) , les actions de parentalité en lien avec le REAAP Réseau d’Écoute, d'Appui et d'Accompagnement des Parents et ville vie vacances représentent plus de 80 actions.

Le développement des conventions pluriannuelles d’objectifs entre 2018 et 2020 a permis de sécuriser le financement de 27 associations. Leur nombre est passé de 35 en 2018 à 56 en 2020. Elles représentent désormais 50 % de l’enveloppe socle départementale.

Dans le contexte de crise sanitaire liée à la COVID-19, l’action de L’État en faveur des quartiers a été renforcée par la mise en place de dispositifs nouveaux :

  • Vacances apprenantes 
  • Quartiers solidaires 
  • Continuité éducative